Nouveau programme national de soutien aux organismes de santé: «Auto pour la vie»

0
De gauche à droite: M. Coursol, président de la Fondation ARPAC, Mme Asselin, Maison des greffés, M. Robitaille, président du CA de l'ARPAC, M. Ahuet, Fondation québécoise en santé respiratoire, M. Chaput, Société canadienne de la sclérose en plaques, Mme Tremblay, Fondation Hôpital Charles-Lemoyne, M. Taschereau, Fondation des maladies mentales, Mme Boivin, administratrice de l'ARPAC, Mme Brazeau, Fondation des maladies du coeur, Mme Paquette, Opération Enfant Soleil, Mme Dumont, Fondation Centre de cancérologie Charles-Bruneau, M. Matte, président de l'ARPAC.

La Fondation ARPAC annonce la création du programme national «Auto pour la vie». Ce projet, ambitieux et prometteur, vise à offrir une nouvelle source de revenus aux organismes caritatifs du secteur de la santé en offrant au consommateur l’option de se départir de son véhicule en fin de vie au profit de la fondation de son choix.

Depuis sa création en 1995, la Fondation ARPAC vient en aide à des personnes vivant des situations difficiles en soutenant à la fois des organismes caritatifs dans le secteur de la santé, des projets humanitaires et éducatifs. Aujourd’hui, elle choisit de concentrer son action en santé en créant le programme Auto pour la vie. «Le souci du bien-être des individus a toujours été une valeur importante de notre Fondation», commente Pierre Robitaille, président de l’ARPAC. «Nous souhaitions accentuer notre implication dans ce secteur pour faire une réelle différence dans un milieu qui nous touche tous», ajoute M. Robitaille.

Le fonctionnement du programme Auto pour la vie est très simple : le propriétaire d’un vieux véhicule, souhaitant s’en départir, peut le faire via le site Internet www.autopourlavie.ca ou en appelant la ligne sans frais 1-855 283-2722. Selon l’état du véhicule, le participant pourra soit l’apporter chez le recycleur membre de l’ARPAC le plus près de chez lui ou le faire remorquer gratuitement. «Selon l’année de la voiture léguée, la Fondation remettra un chèque à un organisme partenaire au choix du participant, mentionne M. Robitaille. «Les remises vont de 150 $ pour les véhicules datant de 2000 et moins, à 500 $ pour les véhicules datant de 2005 et plus» précise Pierre Robitaille.

La Fondation ARPAC s’est entourée de partenaires de prestige pour concrétiser son projet. Ainsi les participants d’Auto pour la vie auront le choix de faire leur don à l’un des organismes suivants :   

  • Fondation Centre de cancérologie Charles Bruneau
  • Fondation des maladies de l’œil
  • Fondation des maladies du cœur
  • Fondation des maladies mentales
  • Fondation Étoiles – Recherche sur les maladies infantiles
  • Fondation Hôpital Charles-Lemoyne
  • Fondation québécoise en santé respiratoire (Association pulmonaire Québec)
  • Opération enfant soleil
  • Société canadienne de la sclérose en plaques

Tous les partenaires feront la promotion du programme via des bandeaux installés sur leurs sites Internet et des annonces publiées dans leurs outils de communication. «La Fondation souhaitait avoir le plus grand nombre de partenaires possibles. Ainsi, la personne qui fera un don, pourra le faire pour une cause qui la touche : un cancer, une maladie pulmonaire ou encore un enfant proche atteint d’une grave maladie» commente M. Robitaille.

Le réseau de l’ARPAC, ses membres et partenaires d’affaires, représentent une vaste communauté qui souhaite s’impliquer pour améliorer les soins et la recherche en santé. «Tous, de près ou de loin nous sommes touchés par une personne atteinte d’une maladie. C’est pour eux, pour nous et nos enfants aussi que ce programme a été mis sur pieds», conclu M. Robitaille.

Au Québec, ce sont près de 400 000 véhicules qui sortent de la circulation chaque année. Les membres de la Fondation ARPAC en recyclent déjà une bonne partie via leur présence marquée sur tout le territoire mais aussi via des programmes ponctuels avec les concessionnaires. La Fondation souhaite avec cette campagne récupérer la plus grande partie de ces voitures et en faire profiter la communauté.

 

Source: L’ARPAC

Partager.

Répondre