Lettre d’opinion – Les citoyens de Trois-Rivières inquiets de la fluoration ont bien raison

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Grâce à la Loi à l’accès à l’information et le processus de pétitions au Commissaire à l’environnement du Bureau du Vérificateur général du Canada nous avons pu obtenir des faits plus qu’inquiétants, plutôt fort troublants sur l’innocuité et les conditions de salubrités de la production des produits chimiques servant à la fluoration de l’eau potable.

Nous avons appris de la Ministre de la Santé du Canada, Madame Leona Agglukak que Santé Canada n’exerce aucune surveillance et aucun contrôle sur les fluorures servant à la fluoration. Ces fluorures servant supposément à la prévention de la carie dentaire, une allégation thérapeutique, ne sont pas selon Santé Canada des médicaments, ni des produits de santé naturels et pas plus une source acceptable d’un minéral nutritif. Ils ne remplissent pas les conditions de salubrité requises pour son ajout aux aliments ou à l’eau. Conséquemment, ils ne peuvent pas être nutritifs. Ce sont des produits chimiques de qualité industrielle récupérés des processus de dépollution des usines d’engrais chimiques phosphatés. Nous sommes troublés par le fait que des produits chimiques aux conditions sanitaires de fabrication, d’empaquetage, de transport et d’entreposage plus que douteuses servent à traiter nos enfants contre la carie. C’est comme si on voulait nous servir du sel sale de déglaçage des routes comme médicament ou comme aliment. Pour Santé Canada, les fluorures ajoutés à l’eau potable ne sont que des produits chimiques de traitement de l’eau potable. Légalement, les produits chimiques de traitement de l’eau ne traitent que l’eau et n’ont pas la légalité de traiter les gens contre une maladie. Le fluorure ne rend pas l’eau potable…

La Ministre de la Santé du Canada affirme que la santé publique est protégée par le fait que les produits chimiques de traitement de l’eau doivent tous subir des tests de toxicologie d’une exposition chronique pour assurer leur innocuité pour la santé et que le consortium de la National Sanitation Foundation a fait de l’exécution de ses tests une condition sine qua non de sa certification. Or les produits chimiques de fluoration font une entorse à cette règle obligatoire. La National Sanitation Foundation a une décharge dans son document qui la libère de cette tâche en prétendant que cette responsabilité appartient aux gouvernements. Santé Canada, le ministère de la Santé et des Services sociaux, le ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs, les municipalités ayant recours à la fluoration incluant Trois-Rivières n’ont pas les tests de toxicologie requis. Sans ces tests de toxicologie, la prétention que les produits chimiques de fluoration sont sécuritaires relève de la fraude scientifique.

Conséquemment, la Ville de Trois-Rivières expose sa population à un produit chimique qui n’a pas été démontré sécuritaire. Dans ce cas, je serais un citoyen aussi inquiet que si on ajoutait de l’arsenic dans mon eau. En fait, les produits chimiques de fluoration contiennent aussi juste un peu d’arsenic, de plomb, de cadmium…

J’appuie le Coalition Trifluvienne pour une Eau Très Saine. (http://trsansfluor.wordpress.com/)

 

Source: Gilles Paren, coauteur de «La fluoration : autopsie d’une erreur scientifique»

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