Les Rôtisseries St-Hubert annonce aujourd’hui le déploiement de son projet majeur de collecte des matières compostables dans ses restaurants, une première pour une chaîne de restauration au Québec. L’innovation en matière d’initiatives environnementales se poursuit donc pour Les Rôtisseries St-Hubert qui a été la première chaîne de restaurants à développer des emballages 100 % recyclables et compostables en 2009 et à devenir plus récemment, l’un des partenaires fondateurs du Circuit électrique d’Hydro-Québec.
L’entreprise a décidé d’étendre le projet de mise au compostage à son réseau, après le succès du projet-pilote mis en place en 2010 à la rôtisserie située sur la rue Lajeunesse à Montréal. « Bien qu’audacieux, ce programme cadre parfaitement avec le plan de développement durable de notre entreprise et reflète notre philosophie en matière d’innovation », mentionne Jean-Pierre Léger, président et chef de la direction de Groupe St-Hubert. « C’est une démarche qui démontre notre engagement quant à la responsabilité sociale de l’entreprise tout en permettant à nos établissements d’être au diapason des préoccupations sociales et environnementales de nos employés et de nos clients ».
Plus de 80 % des matières compostables détournées des sites d’enfouissement
Présentement, 54 rôtisseries au Québec ont été mises au compostage et 35 d’entre elles ont obtenu le niveau 3 de l’Attestation ICI ON RECYCLE! de RECYC-QUÉBEC, soit la plus haute performance reconnue par RECYC-QUÉBEC. « L’aide financière de 200 000 $ de RECYC-QUÉBEC a permis d’accélérer l’implantation du programme dans notre réseau. Nous sommes confiants d’atteindre notre objectif et de voir nos rôtisseries, tant au Québec qu’à l’extérieur du Québec, collecter les matières compostables d’ici le début de 2015 », affirme Marie-Line Beauchamp, présidente des Rôtisseries St-Hubert.
Concrètement, le taux de mise au compostage des matières organiques des rôtisseries participantes dépasse 80 %. L’initiative des Rôtisseries St-Hubert permet d’envoyer au compostage, environ 2 800 tonnes par année de restants de table et de cuisine qui aboutiraient autrement dans des sites d’enfouissement. « La précieuse collaboration de nos employés est la base du succès de notre projet de mise au compostage », conclut Mme Beauchamp.
