Pour Enbridge, il importe que les parties prenantes soient consultées continuellement de façon ouverte et transparente

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Photo tirée du site http://www.enbridge.com/

Chez Enbridge, les relations avec la communauté et les instances décisionnelles locales font partie des engagements les plus clairs. Dès le début du projet d’inversion de sa ligne 9B, des communications ont été établies avec tous ceux qui pouvaient être directement concernés par ce projet. Enbridge sait pertinemment que les collectivités concernées et les citoyens ne veulent plus simplement connaître si l’entreprise s’acquitte bien de ses obligations, ils veulent surtout savoir ce que nous faisons pour nous améliorer, progresser, prévenir les accidents. Et ils ont raison.

Au cours de la seule année 2013, nous avons tenu sur le tronçon québécois de la ligne 9B sept portes ouvertes dans des municipalités où passe notre pipeline. Nous avons tenu de multiples rencontres avec des conseils de ville, des conseillers, des services d’incendies et de sécurité publique de même qu’avec des médias locaux, des groupes de premiers répondants, des groupes de citoyen, des propriétaires de terrains adjacents à nos pipelines avec des communautés autochtones et avec des groupes d’intérêt. En fait, nous avons consulté plus de 2 600 intervenants sur notre projet.  Bien sûr, nous nous sommes assurés de rencontrer et de consulter tous ceux qui sont en autorité dans les municipalités et qui sont concernés par notre projet

Si l’on prend l’exemple d’une grande ville comme Montréal, notre première rencontre remonte à décembre 2012 à la suite du dépôt de notre projet à l’Office nationale de l’énergie. Une deuxième rencontre a eu lieu avec, entre autres, la présidente du comité exécutif de la ville et son collègue de l'exécutif responsable de l'urbanisme et du développement économique en avril dernier où nous avons pu présenter les grandes lignes du projet et discuter de notre capacité à répondre aux urgences. Il est entendu que les représentants d’Enbridge ont toujours été disponibles par la suite pour répondre à toutes les préoccupations, mais dans le cas de la ville de Montréal aucun autre échange n’a eu lieu.

À la suite du dépôt de la lettre de commentaires de la ville à l’ONÉ, nous avons voulu rencontrer nos interlocuteurs montréalais afin d’apporter les précisions requises et les réponses à ce que la ville demandait pour la première fois par cette intervention dans le processus de consultation. Nous voulions éviter que la population soit alarmée indûment  alors qu’Enbridge disposait d’un plan d’interventions d’urgence comprenant entre autres trois programmes de réponse d’urgence pour les trois plans d’eau majeurs entourant Montréal. Ces plans et programmes ont été préparés par la firme Stantec, reconnue au Canada comme un leader dans son domaine.

En aout, nous nous sommes assurés de rencontrer le plus rapidement possible tous ceux qui étaient concernés par le projet, notamment les responsables des volets sécurité publique, environnement  et premières interventions d’urgence, particulièrement ceux du service des incendies de la ville de Montréal.

Il faut savoir que depuis de nombreuses années nous tenons des réunions avec ces autorités, avec les responsables des trois casernes de pompier à Montréal-Est et celles à proximité de notre terminal, là où passe notre pipeline sur l’ile de Montréal sur une distance d’un kilomètre. Cette rencontre, qui a eu lieu il y a 2 semaines, leur a permis de réaliser que toutes ces informations que nous avions échangées avec les responsables des casernes locales ne leur avaient jamais été acheminées. Ils ont ainsi pu en savoir plus sur ce que nous faisons sur le plan de la sécurité publique et nous avons convenu avec eux de créer rapidement des comités mixtes pour la suite des choses et prévoir éventuellement des activités conjointes en matière de sécurité.

C’est donc avec étonnement que nous avons appris, dans un courriel du 26 septembre, que la présidente du comité exécutif ne connaissait toujours pas notre plan des mesures d'urgences alors que nous avions eu une rencontre le 16 septembre dernier au Centre de sécurité civile et aux Service des incendies de Montréal à ce sujet.

Il faut savoir également que dans le cadre des rencontres que nous avons tenues au cours des quatre derniers mois, nous avons répondu à plus de 220 questions de fond posées par quelque 40 différentes parties prenantes, tout comme nous avons répondu à des milliers d’autres lors de rondes de rencontre précédentes. Ces questions portaient notamment sur les mesures d’urgence et l’intégrité de la canalisation, sur les améliorations apportées depuis l’incident de 2010 à Marshall, sur la conception du pipeline et son exploitation et sur les produits qui seront acheminés dans celui-ci. Nous avons répondu à toutes ces questions. Ces réponses sont d’ailleurs disponibles sur le site Web de l’ONÉ.

Ces démarches n’ont pas été que le résultat d’une obligation réglementaire, mais découlent directement de la politique de relations avec les collectivités adoptée par Enbridge. En fait, ces démarches vont bien au-delà de ce qu’exigent habituellement les autorités réglementaires.

Dans un monde de plus en plus exposé à la surinformation, il importe que ces échanges aient lieu fréquemment et à tous les niveaux pour que tous ceux qui ont des décisions à prendre ou qui peuvent être concernés par un projet puissent se familiariser avec celui-ci et poser les questions qui les préoccupent. C’est dans cette optique qu’Enbridge s’est dotée d’une politique de communication avec les communautés marquée au sceau de l’ouverture, de la transparence et de l’écoute active. Les gens doivent être bien renseignés à partir de faits vérifiés, et c’est ce à quoi nous nous employons.

 

Source: Enbridge

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