Pourquoi être un « porteur d’espoir »?

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Par Louis-Philip Prévost

PORTER L’ESPOIR. Un concept qui, pour certains, n’est que du pelletage de nuages, alors que pour d’autres, il fait sonner une cloche dans leur esprit. Je fais partie de ces derniers.

À 16 ans, un programme mis de l’avant par le Jour de la Terre, Porteur d’espoir 2015, a capté mon attention. Ce programme offrait l’opportunité à un jeune Québécois âgé entre 16 et 25 ans d’être reconnu comme relève environnementale de l’année, de par ses actions en matière de protection de l’environnement ou pour son implication dans sa communauté. Bref, un jeune Porteur d’espoir!

Il va sans dire que j’ai tout de suite été emballé par ce programme. À 16 ans, mon parcours était déjà marqué par plusieurs initiatives que j’ai mises en avant dans ma communauté, à Saint-Bruno-de-Montarville, notamment en matière environnementale. Lancement d’un comité consultatif sur la jeunesse, plantation d’arbres, conférence pour sensibiliser les citoyens à l’égard du pétrole bitumineux canadien, projet de compostage dans mon école secondaire; je me suis senti interpellé par ce programme qui en était déjà à sa 8e édition.

Cette année-là, j’ai terminé parmi les cinq finalistes, ce qui dépassait largement mes attentes pour un programme national. Dans les mois qui ont suivi, je n’ai ménagé aucun effort pour poursuivre mon implication au sein de ma communauté. La Tribune jeunesse que j’ai présidée durant deux ans a fait installer quatre ruches urbaines à Saint-Bruno dans le but de contribuer à la préservation des populations mondiales d’abeilles, en plus de sensibiliser les jeunes et les moins jeunes par rapport à cet enjeu à travers plusieurs ateliers de sensibilisation. Le miel récolté a servi à financer une autre de mes initiatives, une deuxième plantation d’arbres pour lutter contre les îlots de chaleur. Ces projets perdurent encore aujourd’hui!

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Source : Jour de la Terre

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