Une première Québécoise en matière d’aire protégée
Nature-Action Québec est heureuse d’annoncer la protection d’un terrain privé de 5,13 hectares dans le Bois du Fer-à-Cheval (Bois de Verchères). (Nature Québec)
Nature-Action Québec est heureuse d’annoncer la protection d’un terrain privé de 5,13 hectares dans le Bois du Fer-à-Cheval (Bois de Verchères). (Nature Québec)
Demain, le 10 décembre prochain, se tiendra à Drummondville le Forum sur les milieux humides organisé par le Regroupement des organismes de bassins versants du Québec (ROBVQ) en collaboration avec l’Organisme de bassin versant de la Yamaska. Cet évènement a lieu moins de quatre mois avant l’adoption d’une loi sur la conservation et l’utilisation durable des milieux humides et hydriques, prévue pour avril 2015.
J’ai fait plusieurs fois le tour de la Gaspésie durant mes vacances et j’avais hâte d’y retourner pour profiter des paysages à couper le souffle du côté nord. Chaque crique est un trésor de beauté naturelle. Mais je commence à douter que la Gaspésie figure dans mes destinations pour les prochaines années… (Par Stéphane Brousseau)
Le 10 décembre prochain, se tiendra au BEST WESTERN PLUS Hôtel Universel de Drummondville, le Forum sur les milieux humides organisé par le Regroupement des organismes de bassins versants du Québec (ROBVQ) en collaboration avec l’Organisme de bassin versant de la Yamaska. (ROBVQ)
Le Centre québécois du droit de l’environnement CQDE, Nature Québec, la Fondation Suzuki, la Société pour la nature et les parcs (SNAP), France Dionne et Pierre Béland, requérants au terme de l’injonction qui a arrêté les forages de TransCanada à Cacouna, clament victoire suite à l’échéance le 30 novembre du certificat d’autorisation qu’ils avaient contesté devant les tribunaux. (Fondation David Suzuki)
Un sondage SOM publié aujourd’hui par la SNAP Québec, Nature
Québec, la Fondation David Suzuki, Greenpeace, le Fonds mondial pour la nature (WWF-Canada) et le CQDE, révèle que 71% des Québécois et Québécoises sont en désaccord avec la construction d’un port pétrolier à Cacouna, lieu de reproduction des bélugas du Saint-Laurent, une espèce menacée. Une écrasante majorité des répondants (87%) estime aussi que le gouvernement du Québec devrait avoir le droit d’approuver ou de refuser le projet Énergie Est. (Groupes environnementaux)
L’UQAR-ISMER annonce qu’elle n’ira pas de l’avant avec le projet de création d’une chaire de recherche sur l’estuaire avec le support financier de TransCanada. (UQAR-ISMER)
Pour faire face à la mise en place d’un réseau de 35 000 « partisans », d’organisations bâties de toute pièce, d’internautes et de leaders d’opinion qui seraient rémunérés par TransCanada, Nature Québec invite les Québécois à exprimer librement leur opinion en signant massivement la pétition « Sauvons nos bélugas ». « On invite également les gens à contribuer à Nature Québec pour contrebalancer un peu les moyens quasi illimités de l’entreprise de Calgary dans la réalisation du plan stratégique élaboré conjointement avec Edelman, la plus grosse firme de relations publiques au monde », ajoute Christian Simard, directeur général de Nature Québec. (Nature Québec)
L’Institut des sciences de la mer de Rimouski songe sérieusement à ouvrir sa porte à la compagnie TransCanada, responsable du projet Oléoduc Énergie Est. C’est un article d’Alexandre Shield, du journal Le Devoir, intitulé Une chaire d’étude sur le béluga, TransCanada veut s’associer à l’Institut des sciences de la mer de Rimouski, paru le 7 novembre 2014 qui en fait état. (Alerte Pétrole Rive-Sud)
« Nous sommes heureux de constater que le premier ministre Couillard réitère l’engagement du gouvernement du Québec de protéger 50 % du territoire du Plan Nord d’ici 2035 », affirme Christian Simard, directeur général de Nature Québec suite à la lettre que le premier ministre a adressé au président de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) lors du Congrès mondial sur les parcs. (Nature Québec)