Par Harvey L. Mead
Dans son premier rapport comme Commissaire au développement durable, Mead a montré que l’empreinte écologique du Québec exigerait trois planètes si toute l’humanité connaissait un tel niveau de vie. Dans son livre sur l’indice de progrès véritable, il montre les grandes faiblesses du PIB comme indice de notre développement. Ici, il étend la réflexion aux contraintes imposées par les fondements en ressources, surtout énergétiques, de notre civilisation.
Troisième de quatre textes constituant un compte-rendu de la 4e Conférence annuelle sur l’économie biophysique.