Hydro-Québec a annoncé la signature d’un second contrat d’approvisionnement en électricité avec Fibrek S.E.N.C., dans le cadre de son programme lancé le 20 décembre dernier pour l’achat de 150 MW d’électricité produite par des centrales de cogénération à base de biomasse forestière résiduelle.
Le 18 mars dernier, à Québec, les représentants des seize conseils régionaux de l’environnement, réunis au conseil d’administration de leur regroupement, le RNCREQ, ont résolu unanimement de rejeter toute forme de développement de la filière nucléaire au Québec, y compris les travaux d’exploration et d’exploitation de l’uranium. Dans cette perspective, le RNCREQ souhaite que la centrale nucléaire Gentilly-2, située au Centre-du-Québec, soit fermée et démantelée. Pour compenser l’impact sur l’activité économique régionale, le Regroupement suggère que le gouvernement du Québec planifie la conversion économique de cette région et de sa voisine, la Mauricie, par des investissements significatifs dans des projets d’innovation et d’expertise dans le secteur de l’économie verte.
En référence à la »Demande de modification des tarifs et conditions de distribution d’électricité relative à une option d’installation d’un compteur n’émettant pas de radiofréquences», je vous prie de bien vouloir verser le document suivant « Proposition de solutions acceptables » – également fourni en attachement en version Word – en tant qu’observations d’un abonné concerné relativement au dossier ci-haut mentionné, de même que cette lettre de mise en contexte.(Coalition québécoise de lutte contre la pollution électromagnétique)
Le Réseau «Sortir du nucléaire» révèle des documents internes à EDF qui démontrent que l’industriel a des doutes sur la résistance de l’acier de 118 pièces de robinetterie qui pourraient brutalement rompre.
Sans surprise, le gouvernement conservateur a présenté un projet de loi sur le budget dont le tiers porte sur l’élimination de lois et de règlements visant la protection de la santé des Canadiens, la protection de l’air, de l’eau, des espèces ainsi que la lutte aux changements climatiques.
L’Office national de l’énergie (ONÉ) a reçu 41 000 commentaires de citoyens opposés à un projet d’Enbridge qui ferait transiter le pétrole des sables bitumineux de l’Alberta jusque dans l’État du Maine, en passant par l’Ontario, le Québec et la Nouvelle-Angleterre.
Les citoyens n’ont pas eu l’heure juste quant aux bénéfices réels et aux impacts sur l’environnement du projet de centrale hydroélectrique sur le site patrimonial du Village historique de Val-Jalbert, constate la Fondation Rivières. Dans sa forme actuelle, le projet assècherait la rivière Ouiatchouan sur près d’un kilomètre en haut de la chute : il ne subsisterait qu’un mince filet d’eau de 0,3 mètre cube par seconde, et ce environ 79 % du temps. Les chutes Maligne et Ouiatchouan seraient ainsi réduites au silence pendant ce temps et les aires de reproduction de l’omble de fontaine, réduites à néant.
Journée riche en découverte pour la délégation du Québec, car le Danemark est sans contredit un leader en technologies propres. (Écotech Québec)
Écotech Québec, qui représente la grappe des technologies propres, a été invitée à découvrir l’expertise et les occasions d’affaires de deux pays leaders dans le domaine: le Danemark et la Finlande. (Écotech Québec)
La CQLPE et différents regroupements de citoyens se sont donné rendez-vous à 13h30 au coin nord-est des rues Saint-Urbain et René-Lévesque et marcheront vers le grand rassemblement qui se tiendra à la Place des Festivals.
La CQLPE ainsi que les regroupements de citoyens, tels Villeray Refuse, Laval Refuse et Mauricie Refuse, s’opposant à l’implantation de ces compteurs veulent ainsi donner de la visibilité au fléau de la pollution électromagnétique et conscientiser les gens au fait que celle-ci est omniprésente et affecte les humains, les animaux et les végétaux. (CQLPE)