Pour une cinquième année d'affilée, l'Assemblée nationale renouvelle son appui à la plus grande manifestation environnementale de l'histoire, à laquelle participeront plus de 5 200 villes dans 135 pays, Une heure pour la Terre. Le samedi 31 mars, l'éclairage de ses édifices sera donc interrompu de 20 h 30 à 21 h 30. Seules les lumières nécessaires à la sécurité des lieux demeureront allumées. Ce geste, porteur d'espoir, s'inscrit dans le cadre du plan d'action de l'Assemblée nationale en matière de développement durable dévoilé en 2009, accessible sous l'onglet Publications du site assnat.qc.ca.
« Dans la lutte aux changements climatiques, nous devons nous unir et travailler ensemble pour combattre ces bouleversements de la nature. Comme l'Assemblée nationale souscrit pleinement aux objectifs de protection de l'environnement et de lutte aux changements climatiques, elle se joint, une fois de plus, aux millions de personnes qui se mobiliseront pour cette cause planétaire en éteignant leurs lumières le 31 mars. J'invite d'ailleurs tous mes concitoyens à conjuguer leurs efforts aux nôtres », a souligné M. Jacques Chagnon, président de l'Assemblée nationale.
En endossant Une heure pour la terre, l'Assemblée nationale témoigne de l'importance qu'elle accorde aux effets des changements climatiques et de sa détermination à accroître la conscientisation de la population envers cet enjeu fondamental. L'Assemblée nationale souhaite, de cette façon, devenir un parlement modèle dans ce domaine.
Une heure pour la Terre (Earth Hour) est une initiative orchestrée par le Fonds mondial pour la nature (World Wildlife Fund) pour sensibiliser la population aux enjeux du dérèglement climatique. Il s'agit d'une invitation à poser des gestes tangibles destinés à réduire la consommation d'énergie. Cette activité, qui existe depuis 2007, est devenue le plus important mouvement environnemental à l'échelle mondiale.
Source: Gouvernement du Québec
